Les cultures du jeu dans les différents pays sont une combinaison de facteurs historiques, de traits de caractère nationaux et d’opportunités technologiques/financières. En analysant tous ces facteurs, on peut voir comment les approches d’un même jeu varient en fonction du pays. De l’e-gaming compétitif dans les régions asiatiques à la popularité de CasinosHunter en France, voyez comment les cultures du jeu diffèrent à travers le monde.
France : Des jeux pour tous les âges et tous les sexes
La France est un centre de sports et de jeux de casino depuis des siècles. Il n’est donc pas étonnant que la population actuelle soit également friande de jeux vidéo, de jeux d’argent et de compétitions. En francophone, 70% de la population joue à un certain titre ou autre de jeu vidéo. L’âge des joueurs est de 10 à 70 ans. Sur le plan des sexes, 51 % des joueurs sont des hommes et 49 % des femmes, en gros c’est donc quasiment du 1 : 1.
En ce qui concerne les genres, les cinq principaux sont les jeux mobiles, les jeux de course, les jeux de plateforme, les jeux d’action et les jeux de rôle.
L’Asie : des apprenants acharnés et des joueurs compétitifs
L’analyse des cultures asiatiques permet d’identifier des qualités telles que la discipline, la détermination et la responsabilité. Selon les experts, la culture du jeu dans les pays asiatiques fonctionne de la même manière :
- Les joueurs de Corée du Sud participent activement aux compétitions de sport électronique (l’équipe coréenne occupe la première place des compétitions LoL depuis plusieurs années).
- La Chine est le plus grand marché du jeu vidéo au monde. Toutes sortes de populations, y compris les mineurs et les personnes âgées, jouent à des jeux pour évacuer un stress permanent.
- Le Japon, outre la compétition et l’apprentissage intensif, est connu pour ses jeux aux personnages et aux scénarios brillants. De la franchise Mario à Dark Souls, les développeurs de jeux locaux ont tendance à créer des jeux aux personnalités brillantes.
Fondamentalement, le marché asiatique des jeux couvre deux besoins de la population locale : l’évacuation du stress et l’accomplissement de soi par la réussite. C’est pourquoi les sports électroniques compétitifs et les jeux mobiles divertissants coexistent ici.
Les États-Unis : innovation et divertissement
Aux États-Unis se distinguent des régions asiatiques et européennes par l’absence d’une tradition profonde en matière de jeux. Ici l’évolution des modes ludiques est davantage influencée par les avancées technologiques et les tendances contemporaines que par des facteurs historiques ou culturels :
- Avec l’essor des smartphones, les jeux mobiles constituent le segment le plus important dans le pays.
- Les jeux gratuits sont particulièrement populaires, et les Américains font des dons réguliers pour prolonger leur expérience et recevoir des objets uniques.
- Les jeux AAA sont les plus vendus dans l’essai de pièces de monnaie. Cela montre que les habitants privilégient les graphismes étendus et suivent les tendances marketing plutôt que leurs goûts personnels en matière de jeux.
Il est surprenant de constater que 80 % des joueurs américains ont plus de 18 ans. Parallèlement, environ 70 % des enfants de moins de 18 ans jouent également à des jeux vidéo. Dans l’ensemble, la culture du jeu aux États-Unis est plutôt axée sur le divertissement et le suivi des tendances. Les développeurs de jeux se concentrent souvent sur le public américain, qui est l’un des plus solvables au monde (avec l’Europe occidentale). C’est pourquoi les locaux privilégient les titres populaires et les jeux en tête de liste plutôt que l’industrie indépendante et les mécanismes inhabituels.
L’Union européenne : Des cultures variées
Les premiers jeux sont apparus sur le continent européen il y a plusieurs siècles. Des Jeux olympiques aux cultures de jeu bien développées, le jeu est une forme de collaboration et un moyen de vivre de nouvelles émotions.
- L’Allemagne, nation conservatrice, préfère encore les jeux sur PC aux consoles et aux smartphones/tablettes. Les genres les plus populaires sont les MMO et les jeux de stratégie, qui impliquent une réflexion stratégique et une collaboration.
- Le Royaume-Uni est un centre de jeux européen depuis les années 90. Les habitants apprécient les genres et les plates-formes polyvalents, sans priorités majeures.
- En Italie, seuls 30 % de la population sont des joueurs. En tant que nation de plein air et de repos actif, les Italiens ne paient pas les jeux trop souvent. Les genres collaboratifs sont les plus populaires.
La France, étonnamment, est l’une des nations les plus joueuses de l’UE. Le public est également le plus polyvalent.
Conclusion
Vous devez comprendre les gens pour comprendre comment ils jouent ou pourquoi ils achètent des jeux. Pour les Français, le jeu est synonyme de collaboration : c’est un moyen de rencontrer d’autres personnes en ce monde. Or l’Asie, elle, développe leurs compétences et se livrent à des concours de jeux vidéo. Le large éventail de fonctionnalités offertes par le marché du jeu illustre sa diversité bien plus grande encore. Même à l’époque de la mondialisation actuelle, il est essentiel pour les créateurs de jeux de demeurer attentifs aux particularités régionales afin d’accroître leurs ventes et d’étendre leur présence sur de nouveaux marchés.