L’immuable cycle de la vie fait que chacun, un jour ou l’autre, se trouve confronté à l’expérience du deuil.
Bien qu’inévitable et inhérent à toute existence, et même lorsqu’il était prévisible, le deuil laisse invariablement quiconque l’expérimente, démuni et désemparé et, bien qu’il soit atemporel et universel, il n’existe ni de manuel ni de méthode éducative à son propos.
Les dictionnaires définissent le deuil comme une douleur sentimentale faisant suite au décès de quelqu’un. Le deuil est aussi décrit comme une période de temps charnière de convalescence durant laquelle s’opère l’apprentissage d’une existence dont l’être cher est désormais absent.
Le temps est-il le seul remède au chagrin de la perte ?
N’a-t-on pas d’autres choix que de subir passivement ces étapes en attendant que le temps fasse son œuvre pour panser les blessures et réapprendre à vivre sans l’être cher disparu ?
Ou, peut-on trouver le moyen d’agir face à sa peine, l’embellir et se rendre acteur de sa période de deuil ?
Comprendre ce que l’on vit
La première défense que l’on puisse avoir face à l’effroi du vide laissé par la disparition d’une personne aimée est d’analyser et de comprendre ce que l’on ressent.
Les études à son sujet font état d’un processus en plusieurs phases : le choc, le déni, la colère, la tristesse, la résignation et l’acceptation avant d’aboutir à la reconstruction, chacun vivant ces étapes de façon plus ou moins intense et avec son propre tempérament.
Le fait de se savoir à tel ou tel stade de ce processus quasi immuable peut aider, dans une certaine mesure, à désamorcer la violence du ressenti et à mieux se stabiliser durant cette période de grand désarroi.
Existe-t-il une “bonne” manière de guérir la douleur d’une perte ?
Nul mode d’emploi du deuil n’existe et c’est chacun qui se débat avec son chagrin comme il le peut en laissant libre cours aux vagues d’émotions qui le submergent ou en tentant de les refouler.
Certains se tournent vers des thérapies qui leur offrent un espace salvateur de liberté de parole.
D’autres trouvent une échappatoire en laissant exprimer leur créativité dans différentes formes d’art.
L’on aime aussi perpétuer le souvenir de notre cher défunt en poursuivant certaines des actions qu’il avait entreprises en continuant, par exemple, d’assurer son soutien à des associations qu’il affectionnait.
Afin de toujours alimenter le souvenir du défunt tant aimé
On éprouve aussi souvent le besoin de prolonger l’existence de l’être aimé parti à jamais par un souvenir matériel, qu’il soit une image, une photo, un portrait ou un objet symbolique lui ayant appartenu.
La sépulture, dernier lieu de la présence physique de l’être cher disparu, fait office d’hommage permanent à son existence mais, pierre froide soumises aux pires intempéries, satisfait-elle pleinement notre besoin de souvenirs ?
La sépulture du cimetière trouve aussi parfois ses limites dans l’éloignement géographique avec notre lieu de vie et l’on éprouve alors le besoin d’un lien autre avec le souvenir de l’être cher qui s’en est allé.
Et si le diamant commémoratif offrait la meilleure des réponses à l’absence ?
Désormais, grâce aux prouesses techniques réalisées par une poignée laboratoires de pointe de par le monde, il est possible de conserver l’essence physique même de la personne disparue par la transformation de ses cendres de crémation ou de ses cheveux, en un diamant aux caractéristiques semblables à celles du diamant terrestre, le diamant commémoratif.
Qu’est-ce qu’un diamant commémoratif ?
Depuis plusieurs décennies, des laboratoires, dont particulièrement ceux de la société suisse Lonité, précurseur et leader dans ce domaine, se sont fait les spécialistes de la production de diamants de laboratoires à partir de cendres de crémation ou de cheveux. Il s’agit d’un processus de plusieurs mois durant lesquels les cendres de crémation ou les cheveux vont subir, sous forme accélérée, une transformation sur le modèle des mouvements terrestres qui ont, au fil de millénaires aboutit à l’émergence, au sein du manteau terrestre, des diamants de pur carbone si recherchés.
Le processus de création d’un diamant commémoratif au sein des laboratoires Lonité
À la réception des cendres ou des cheveux, les techniciens des laboratoires Lonité vont d’abord procéder à une analyse qui déterminera si la matière contient suffisamment de carbone pour pouvoir en extraire la quantité nécessaire à l’élaboration du diamant. Si ce n’est pas le cas, plus de matière vous sera demandée afin de poursuivre les étapes de transformation.
Les cendres ou cheveux passeront ensuite par une série d’étapes de purification de la matière pour aboutir à l’obtention d’un carbone pur à 99,99 %. Ces opérations extrêmement techniques ne demanderont, en général, pas moins de cinq mille heures de travail.
Le carbone obtenu sera ensuite cristallisé selon une procédure extrêmement pointue et minutieuse longue de plusieurs mois.
Une fois cristallisé, le diamant subira un polissage par des techniciens habilités à cette manipulation hautement délicate qui en débarrassera la surface de toute impureté.
Ce sera là la naissance d’un diamant brut absolument unique puisqu’il sera l’essence d’un être physique lui aussi absolument unique.
Le diamant commémoratif : une aide significative pour surmonter la perte d’un être cher
Par sa nature même, le diamant commémoratif est une représentation des plus fidèles de la personne disparue parce qu’il en détient les éléments constitutifs à l’état pur.
Et quel bel hommage que d’offrir à la mémoire de l’être aimé disparu une transformation de ses vestiges physiques en un joyau des plus purs de tous, unique par sa nature même et universellement reconnu comme le symbole suprême de la fidélité et l’éternité.
Afin de parachever la création de votre diamant de commémoration en un diamant encore plus remarquable en tous points, vous pouvez le personnaliser de différentes façons.
Le laboratoire Lonité vous proposera différents choix de couleurs pour votre diamant. La couleur étant contrôlée lors de l’étape de la cristallisation du carbone, elle sera choisie à la commande. Il s’agira toujours d’une couleur naturelle dont le carbone se sera teinté au fil de son évolution lors de cette étape. La teinte exacte sera, quant à elle, le reflet unique de « l’identité » de la matière de départ et ne pourra se prédire, ce qui en fera une pièce totalement unique.
Une fois votre diamant brut obtenu, vous pourrez le faire tailler en l’une des dix différentes sortes de taille proposées.
Il sera alors prêt pour être serti par le bijou de votre choix qui finira la personnalisation de votre diamant de commémoration.
Symbole, et compagnie discrète mais éternelle, le diamant commémoratif s’offre comme une compensation de choix à la douleur de l’absence définitive d’un être cher.
